France
Article

Journée mondiale des réfugiés : l’ACAT-France appelle à faire triompher la dignité humaine

« Il faut mettre le droit d’asile à l’abri de la fièvre de haine qui se propage comme une trainée de poudre » Dans le cadre de la Journée mondiale des réfugiés jeudi 20 juin et dans le contexte des élections, Yves Rolland, président de l’ACAT-France, alerte, dans une tribune parue dans La Croix, sur la mise en danger du droit d’asile en France et en Europe, portée par une politique déshumanisée qui ne cesse du gagner du terrain.
EUROPARL-1160x600_by-Ralf-Roletschek
Le Parlement européen - Photo © Ralf-Roletschek via Wikimedia

Articles associés

Communiqué
AN-1160x600_by-ZeusUpsistos
France

Législatives anticipées : déclaration de l’ACAT-France

Le 20 / 06 / 2024
En cette Journée mondiale des réfugiés et avant de commémorer la Journée internationale de soutien aux victimes de la torture le 26 juin, l’ACAT-France souhaite s’exprimer sur les risques que présente la situation politique en France.
Communiqué
Gaza-Airstrike-20231010_by-Wafa-APAimages
FranceIsraëlPalestine

Action juridique pour stopper les livraisons d’armes à Israël

Le 12 / 04 / 2024
L'ACAT-France et un ensemble d'ONG de défense des droits de l'Homme saisissent la justice en urgence pour stopper les ventes d'armes par la France à Israël. Objectif : obliger la France à respecter le droit international, qui interdit de transférer des armes vers un pays susceptible de les utiliser pour commettre de graves crimes internationaux. Par ces transferts, la France contribue au risque de faire basculer le droit légitime d'Israël à se défendre en génocide.
Actualité
Police-France_1160x600_by-Frederic-Legrand-COMEO
France

Usage excessif de la force par la police : la France persiste

Le 15 / 03 / 2024
Le 15 mars est la Journée internationale contre les violences policières. L’occasion pour l’ACAT-France de revenir sur les recommandations adressées par l’ONU au gouvernement français pour encadrer l’usage de la force par la police et la gendarmerie. Après son « examen périodique universel », c’est-à-dire son bilan en matière de droits de l’Homme, quelles recommandations la France a-t-elle accepté de mettre en œuvre ? Lesquelles ont été retoquées ? Analyse.