Lutter contre la torture
La torture n’est jamais légitime et la dignité de toute personne humaine doit être respectée sans aucune exception morale ou juridique. L'engagement de l'ACAT contre la torture, basé sur l’article 5 de la Déclaration universelle des droits de l’homme[1] et sur l’Evangile selon Saint Mathieu (25,40)[2] est à l’origine de sa création en 1974.
Notre organisation prend la défense de toutes les victimes de tortures et de mauvais traitements, sans distinction idéologique, ethnique ou religieuse, qu’elles soient des prisonniers d’opinion ou de droit commun, détenues par des États ou des entités non-étatiques, ayant commis ou non des actions répréhensibles.
>> Aller plus loin
Notre action contre la torture :
- Prendre la défense de toutes les victimes de tortures
- Enquêter dans les pays où la torture est pratiquée
- Sensibiliser l’opinion publique, les chrétiens et faire pression sur les décideurs, les gouvernements et les institutions internationales.
- Agir par des interventions individuelles et collectives pour :
- la défense de personnes torturées ou risquant de l’être
- le respect et l’application stricte des conventions et autres instruments internationaux et régionaux que les Etats doivent respecter
- la lutte contre l’impunité
- le développement de politiques de prévention
- Nous constituer partie civile auprès des juridictions pénales pour assister les victimes de tous les crimes contre lesquels elle se bat
Les crimes contre lesquels l'ACAT agit :
- Torture, peines ou traitements inhumains, cruels ou dégradants
- Exécutions capitales judiciaires ou extrajudiciaires
- Disparitions forcées
- Crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocides
[1] « Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. »
[2] « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »